• Voyages extraordinaires dans les sciences

  • 著者: Radio Laser
  • ポッドキャスト

Voyages extraordinaires dans les sciences

著者: Radio Laser
  • サマリー

  • Voyages extraordinaires dans le monde des sciences est une émission qui invite des chercheuses des chercheurs de tous horizons. Ils et elles partagent leurs travaux de leur recherche, leurs enseignements pour nous dévoiler leur motivation, leur cheminement , les rencontres qui les ont faites avancer et tout cela avec la volonté de transmettre aux jeunes aussi bien filles que garçons, leur passion afin de susciter chez eux le désir de s'engager sur ces voies. Podcasts réalisés par Jean-Louis Coatrieux et Félix Boulé de Radio Laser
    Radio Laser
    続きを読む 一部表示

あらすじ・解説

Voyages extraordinaires dans le monde des sciences est une émission qui invite des chercheuses des chercheurs de tous horizons. Ils et elles partagent leurs travaux de leur recherche, leurs enseignements pour nous dévoiler leur motivation, leur cheminement , les rencontres qui les ont faites avancer et tout cela avec la volonté de transmettre aux jeunes aussi bien filles que garçons, leur passion afin de susciter chez eux le désir de s'engager sur ces voies. Podcasts réalisés par Jean-Louis Coatrieux et Félix Boulé de Radio Laser
Radio Laser
エピソード
  • L’économie pour les passionnés de foot mais pas seulement
    2024/12/19
    L’émission « Voyages extraordinaires dans le monde des sciences » a reçu Yvon Rocaboy, costarmoricain de souche et d’âme, professeur d’économie de l’université de Rennes, passionné de football et pratiquant encore sa passion après avoir joué longtemps à haut niveau. Au-delà de travaux de recherche en économie publique locale (concurrence fiscale, choix de localisation, taille optimale des juridictions) et en économie publique au sens large, dans un présent où le débat sur les économies à faire à tous les échelons du pays occupe toutes les actualités, Yvon nous donnera quelques clés pour mieux comprendre les difficultés rencontrées par les collectivités territoriales. Bien entendu, le lien particulier entretenu avec sa passion et développé dans cet entretien n’est pas un hasard et nous offrait une occasion unique de nous intéresser à ce qu’il se passe dans le monde du sport pour mieux le comprendre. Et en premier lieu le football qui attire tous les regards et les repousse tout autant par ses excès. Là aussi, l’actualité nous rattrape. En voici la preuve à travers quelques questions : - A quel résultat est-il arrivé dans ses travaux portant sur l’effet produit en termes de performance d’une équipe lors d’un licenciement de son entraîneur en cours de saison ? Comment ne pas penser bien sûr au Stade Rennais aujourd’hui. - Que conclue-t-il sur l’impact des différences de salaires entre joueurs sur les performances du club ? Tous pour un ou un pour tous ? - L’existence d’une ligue nationale particulièrement riche comme l’English Premier League peut-elle nuire aux autres ligues domestiques européennes jusqu’à provoquer leur scission ? Comment en conséquence trouver la solution optimale pour gérer la distribution des recettes de diffusion à la télévision ? Nous découvrons avec lui combien ici les méthodes mathématiques sont au cœur de ses travaux et s’appliquent de manière aussi efficace du fait de l’abondance des données disponibles. Mais ces modèles qu’Yvon Rocaboy construit sont-ils seulement applicables aux sports ou ont-ils au contraire une portée générale ? Et pourquoi pas à la politique ? Jean Louis Coatrieux
    続きを読む 一部表示
    1 時間
  • Que peut-il bien se passer entre les insectes et les plantes ?
    2024/11/28
    C’est ce que nous raconte Anne-Marie Cortesero. Un nouvel épisode de « Voyages extraordinaires dans le monde des sciences ». C’est tout d’abord de longs voyages au gré des affectations parentales que nous faisons avec Anne-Marie, aujourd’hui Professeure à l’Université de Rennes. Haïti, Colombie, Egypte, là où elle passera son baccalauréat… Puis l’université à Montpellier, à Tours où elle passera sa thèse avant de s’envoler pour les USA, en Géorgie, pour un long stage-posdoctoral de 1994 à 1997. Découvertes du monde et des cultures, diversité des environnements naturels, rencontre d’un professeur passionné, le chemin s’ouvrait devant elle. Recrutée à l’université de Rennes, Anne-Marie Cortesero s’engage dans la biologie des organismes et l’écologie chimique, l’écologie comportementale et leurs applications dans le cadre de l’agroécologie. Membre et ancienne co-directrice de l'IGEPP (INRAE, Université de Rennes et Institut Agro Rennes-Angers), soit, en termes compréhensibles, Institut de Génétique, Environnement et Protection des Plantes, une unité mixte de recherche (UMR) positionnée sur des enjeux sociétaux importants en agronomie, une agriculture plus économe en engrais et en pesticides, préservant et utilisant la biodiversité. Nous allons tout savoir (ou presque) avec Anne-Marie de ce monde qui nous entoure et auquel parfois, nous ne prêtons pas attention. De ces plantes et ces légumes qui couvrent les champs (les choux, les navets, les rutabagas, …) et parfois les fleurissent pour un temps (le colza, les artichauts, etc.). Près de 80 espèces légumières ! 200000 hectares dont une très grande partie en jardins familiaux. Et des insectes, les principaux ravageurs des cultures dont il faut limiter la population et la transmission aux plantes de virus dont ils sont porteurs. Certains comme le cousin paraissent pourtant bien sympathiques tant ils semblent flageolants sur leurs pattes. Mais pour les pucerons, les mouches qui dévorent allègrement grandes cultures et cultures maraichères, c’est une autre histoire. Comment faire pour, sinon s’en passer, au moins significativement réduire les pesticides dans ce monde en pleine évolution climatique où tout s‘enchaîne dans la grande chaîne alimentaire ? Alors pourquoi ne pas mieux comprendre les insectes et les plantes dans ce qu’ils échangent, dans leurs capacités de capture de l’environnement et d’action sur leur milieu ? Pour tenter de tromper ces indésirables, les attirer d’un côté et les repousser de l’autre ? C’est l’approche choisie par Anne-Marie Cortesero. Ainsi la mouche du chou, l’un des sujets de ses travaux, ravage les plantations de brassicaceae, dont nos fameux brocolis. Et vous saurez comment en l’écoutant sur Radio Laser. Force est de constater que le vivant est encore entouré de bien des mystères. Crédit photo. Pour celle du centre, Margot Tixeront, IGEPP-Agriodor, pour les deux autres, Sonia Dourlot. Université de Rennes.
    続きを読む 一部表示
    56 分
  • Épilepsie, de la mémoire des pionniers en France jusqu’à l’actualité
    2024/09/01
    Une nouvelle saison, la 6ème déjà, de Voyages extraordinaires dans le monde des sciences et elle nous amène au cœur de l’épilepsie avec Fabrice Wendling. Directeur de recherche Inserm au laboratoire Traitement du signal et de l’image, à l’Université de Rennes, si nous devions résumer en très peu de mots sa trajectoire, nous dirions que Fabrice baigne depuis près de 30 ans dans cette maladie redoutable qu’est l’épilepsie. Et cela en se plongeant très tôt dans deux mondes différents. Le premier, celui de la recherche clinique où les clés sont l’expérience acquise par les médecins de la maladie, l’observation des signes manifestés par les patients, le rendu qu’ils font de leur vécu, etc. et bien sûr les observations apportées par les technologies pour la santé : EEG, imagerie, etc. Il a eu la chance d’apprendre avec Patrick Chauvel, un des élèves de l’école de Sainte Anne construite autour de deux grands noms, Jean Bancaud, neurophysiologiste, et Jean Talairach, médecin psychiatre et neurochirurgien à l’origine d’un atlas et d’un référentiel permettant de localiser un point du cerveau sous cadre stéréotaxique. Il était dès lors possible d’obtenir des signaux EEG dits de profondeur (SEEG) pour tenter d’identifier quelles structures cérébrales étaient impliquées dans les crises épileptiques. Nous sommes alors dans les années 50-60, donc bien avant l’apparition des modalités d’imagerie scanner et IRM dont nous disposons aujourd’hui. Le second domaine est évidemment celui des sciences pour l’ingénieur et plus précisément ici, le traitement du signal et la modélisation. Car il ne suffit pas d’acquérir les signaux, il faut les analyser, extraire les informations qu’ils portent. Détecter les premiers changements dans les activités cérébrales, localiser les sources, mesurer les corrélations, quantifier les retards, décomposer les mélanges de signaux, etc. Mais cela ne suffit pas pour comprendre les mécanismes profonds impliqués. C’est là que la modélisation mathématique peut apporter un éclairage fécond en reproduisant les mécanismes cellulaires et leurs anomalies potentielles, les relations entre structures cérébrales proches ou distantes, en les modifiant de façon à s’approcher au mieux des signaux observés. L’épilepsie (nous devrions dire plus justement, les épilepsies) est une maladie neurologique chronique définie par la répétition spontanée de crises, provoquées par l’hyperactivité de groupes de neurones dans le cerveau. Elle peut prendre des formes très diverses et toucher des structures cérébrales proches et distantes. Ces crises soudaines sont le plus souvent de courte durée. L’épilepsie peut se révéler à tout âge même si elle apparaît plus fréquemment aux âges extrêmes de la vie, chez l’enfant et chez les personnes âgées. Plus de la moitié des épilepsies commencent par exemple pendant l’enfance : chaque année, environ 4 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chez l’enfant en France (plus de 50 millions de personnes seraient concernées au total dans le monde). C’est dire son importance. Beaucoup de progrès ont été réalisés dans les traitements médicamenteux, la chirurgie comme dans de nouvelles thérapies non-invasives comme nous le dit Fabrice Wendling. De nouvelles voies prometteuses sont en cours d’exploration comme dans le projet européen Galvani (lauréat de l’European Research Council) associant son équipe et celles de Fabrice Bartolomei, professeur de neurologie à l’hôpital La Timone et chercheur à l’Institut de neuroscience des systèmes à Marseille, et de Giulio Ruffini, biophysicien et directeur de l’entreprise Neuroelectrics à Barcelone. L’objectif du projet est de soigner les épilepsies résistantes aux médicaments et non opérables par stimulation transcrânienne. ------------------------------------------------------------------------------------------- Le traitement de l’épilepsie s’avère inefficace chez un tiers des patients, laissant ainsi des millions d’entre eux souffrir de crises d’épilepsie résistantes aux médicaments. La stimulation transcrânienne non invasive constitue depuis peu une solution prometteuse, mais une mauvaise compréhension de ses effets à court et long terme limite son application. Le projet GALVANI, financé par l’Union Européenne, étudie l’impact des champs électriques de faible intensité sur la physiologie des neurones et les circuits neuronaux. Le principal objectif consiste à comprendre si ces champs électriques appliqués de manière non-invasive sur les régions épileptogènes, spécifiques à chaque patient, peuvent réduire la fréquence des crises et donc améliorer la qualité de vie des malades. ------------------------------------------------------------------------------------------- De la mémoire des pionniers en France jusqu’à l’actualité, ...
    続きを読む 一部表示
    59 分

Voyages extraordinaires dans les sciencesに寄せられたリスナーの声

カスタマーレビュー:以下のタブを選択することで、他のサイトのレビューをご覧になれます。