Un témoignage qui illustre un questionnement légitime:
Je m'appelle Laurence. Je suis une femme qui a vécu avec un alcoolique. Nous n'étions pas mariés mais nous avons vécu trois ans ensemble. Je l'ai soutenu, accompagné, orienté. Je me suis documentée sur cette maladie et j'ai compris beaucoup de choses. Bien sûr, à bout de souffle et désespérée je l'ai quitté. Depuis 2015, il n'y a pas un jour où je me suis demandée ce qu'il devenait. Et la vie a fait que je l'ai rencontré de nouveau. Le hasard est là à nous mettre sur le même chemin plusieurs fois. Le drame dans cette histoire c'est que cet homme a toujours été dans mon cœur. Étant abstinent à l'alcool depuis plusieurs années maintenant, j'ai envie de faire connaissance avec ce nouvel homme. Mais je ne sais pas comment faire. Lui avouer mes sentiments après toutes ces années alors que je vis avec quelqu'un d'autre c'est plutôt absurde. On parle beaucoup du sujet des hommes alcooliques mais on parle moins des femmes qui vivent avec eux. Ce qu'elles peuvent ressentir après la rupture et surtout: est-ce possible de vivre avec quelqu'un d'abstinent après avoir vécu cette maladie à deux?

Le 12 décembre 1972, Stevie Wonder marque l'histoire avec la sortie de "Superstition", un single qui redéfinit les codes de la musique populaire au début des années 70. Enregistré aux Electric Lady Studios à New York, le morceau naît d'une jam session où Wonder joue tous les instruments, créant une ligne de clavinet devenue légendaire. Fait peu connu, Jeff Beck devait initialement enregistrer la chanson en premier, selon un accord avec Stevie, mais la version de ce dernier est sortie avant. Cette composition révolutionnaire influence profondément le funk et la soul, inspirant des générations d'artistes et de producteurs. Le titre connaît un succès retentissant en Belgique, atteignant le top 5 des charts. Cinquante ans plus tard, "Superstition" reste un exemple parfait de l'innovation musicale des années 70. #StevieWonder #Superstition #Funk #Soul #Motown

Le 11 décembre 1973, Bruce Springsteen enflamme le Max's Kansas City à New York lors d'un concert qui marque un tournant dans sa carrière. Sur la petite scène du club, le "Boss" déploie une énergie scénique exceptionnelle qui impressionne particulièrement Jon Landau, critique influent du magazine Rolling Stone. Ce dernier écrira plus tard la phrase devenue célèbre : "J'ai vu le futur du rock'n'roll et son nom est Bruce Springsteen." La soirée est d'autant plus mémorable que le chanteur y présente plusieurs titres qui figureront sur "Born to Run", album qui le propulsera au rang de star internationale en 1975. La performance inspire aussi le jeune Patti Smith, présente dans le public. #BruceSpringsteen #MaxsKansasCity #BornToRun #RockHistory #LiveMusic