エピソード

  • Constant Vanden Stock : Sa brasserie, son club et son interview confession
    2025/04/18
    Archives Club revient avec une foule d'anecdotes sur le destin exceptionnel de Constant Vanden Stock, lui qui tout jeune, dû reprendre la brasserie de son père suite à sa déportation pendant la guerre. Une brasserie Belle-Vue qui fera la fortune personnelle du futur président d’Anderlecht, et qui alimentera les flux financiers vers le stade qui portera son nom jusqu’en 2018.

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    50 分
  • Les bons souvenirs de Jean Duriau à la radio
    2025/04/11
    "Mais c’est pas vrai!", "Pignouf!", "Chez les Belges ce sont les os qui pèsent, chez les Français, c’est quand même le talent!"... Les fidèles de la radio ont encore enfoui quelque part dans leur mémoire les envolées lyriques de Jean Duriau. Et quelle autre place qu’Archives Club, le podcast 100% archives de la rédaction des sports, pour déterrer tous ces souvenirs et remettre à l'honneur, le digne successeur de Luc Varenne.

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    51 分
  • Philippe Albert à cœur ouvert
    2025/04/04
    Philippe Albert ne le cache pas, il est adepte du “c’était mieux avant”. Et alors qu’il se dit être un éternel nostalgique, il est tombé à la bonne place dans Archives Club qui lui a consacré un numéro dans lequel il se penche avec émotion sur son parcours d’homme, de footballeur et de consultant.

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    1 時間 15 分
  • Les licenciements d'entraineur qui ont marqué l'histoire du football belge
    2025/03/28
    Archives Club revient sur Viva Sport en DAB sur les C4 les plus retentissants de l’histoire du football belge, avec à la clé, quelques secrets de vestiaires. Limogé il y a dix jours, David Hubert a un point commun avec Luka Peruzovic, il a gagné son dernier match comme entraîneur du Sporting avant d’apprendre son licenciement. Mais la comparaison s’arrête là. Car lorsqu’on lui signifie qu’il doit prendre la porte en janvier 1993, l’entraîneur croate peut, lui, se targuer de six points d’avance au classement, de surcroît une époque où la victoire était encore… à deux points. Si les résultats sont là, Constant Vanden Stock sent toutefois que quelque chose ne tourne pas rond après une fin de match compliquée face à Lommel. "Je voyais un manque d’implication à l’entraînement. Dans les réceptions d’après-match, les joueurs étaient d’un côté du bar, l’entraîneur de l’autre. Il y avait un manque de contact et je me souviens avoir dit à Verschueren et à mon fils : si on ne fait rien, on va perdre ce dimanche au Racing White", expliquera après coup l’homme fort du Sporting. S’il voyait un manque d’implication à l’entraînement, le président ne croyait pas si bien dire. Quelques années plus tard, Philippe Albert se souvient effectivement de quelques séances "bordéliques", avec un de ses partenaires qui avait une attitude "scandaleuse": Graeme Rutjes. "Lors d’un entraînement à Neerpede, plutôt que de s’entraîner normalement, il faisait exprès de marquer contre son camp. Luka, avec son flegme yougoslave, ne bougeait pas et n’a rien dit, mais nous, joueurs, cela nous révoltait. J’ai été le trouver après la séance en lui disant que s’il ne mettait pas les choses au point avec Rutjes, ça allait devenir difficile pour lui. Le lendemain ou deux jours après, il était limogé." "Nous sommes tous sursitaires" Si encore aujourd’hui, le cas le plus emblématique de cette thématique bien particulière reste celui de Luka Peruzovic, un autre relève cette fois d’un véritable gâchis : le retour manqué de Robert Waseige à l’été 2002 au Standard. Avec le retour du Mage de Rocourt, qui avait fait des miracles en équipe nationale pendant trois ans, tout semblait en effet réuni pour que les Rouches jouent à nouveau la gagne avec un grand G. "L’arrivée de Robert Waseige est la première victoire de la saison", expliquait alors un Michel Preud’homme confiant. Et pourtant, de victoire sur le terrain, Robert Waseige n’en connaîtra pas, subissant quatre défaites en cinq matchs, dont l’une au Tondreau face au promu montois, qui nous valut une interview d'après-match plutôt tendue devant la caméra de la RTBF avec Michel Lecomte. Cet échange que l’on qualifierait aujourd’hui de lunaire et bien d’autres sont à découvrir dans ce nouveau numéro d’Archives Club, diffusé sur Viva Sport en Dab le jeudi et le vendredi et à retrouver également en podcast.

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    43 分
  • Guy Thys, à consommer sans aucune modération
    2025/03/20
    Archives Club se replonge dans l’univers de Guy Thys, le sélectionneur des Diables qui a su donner de 1976 à 1991, le cap au football belge et le maintenir pendant 114 matchs. En sa compagnie, vous partagerez des souvenirs intenses d’une époque où le football était vraiment, si gai à vivre. Pacificateur, animé du sens de la mission, vestige aussi d’une certaine image de la Belgique de papa, on l’oublie parfois mais Guy Thys conserve à ce jour la plus belle carte de visite comme sélectionneur. S'il y a bien sûr la quatrième place à Mexico 86, avec ses Diables (Gerets, Renquin, Millecamps, Ceulemans…) cet Anversois francophone a réalisé la meilleure campagne de tous les temps à l’Euro 80, lorsque la Belgique élimina en l’espace de quinze jours Angleterre, Espagne et Italie au premier tour, pour une place en finale contre l’Allemagne. Et à chaque fois, en jouant d’une façon différente : le hors jeu total contre les Anglais, "ce que Walter Meeuws faisait d’une excellente façon et qui a valu à Kevin Keegan d’être sanctionné sept ou huit fois par le juge de touche". Après un match plein et total contre l’Espagne (victoire 2-1), il ne faut qu’un point à la Belgique pour se qualifier contre l’Italie, encore adepte du Catenaccio avec un grand C. "On a fait pareil, peut-être même pire" se souvient Guy Thys qui se rappelle aussi des pleurs en conférence de presse, du sélectionneur italien Enzo Bearzot. "Ce match à couteaux tirés au Stade Olympique de Rome a été tout près de la vulgarité, tout était permis. Ce jour-là, on a pas été les sages petits belges". S’il dispose d’un potentiel moins prolifique, Rudi Garcia pourrait certainement s’inspirer des bons conseils de ce fin psychologue qu’était Guy Thys (décédé pour mémoire le 1er août 2003) et de l'homme affable qu'il était avec tout un chacun. De l'avis du milieu, Guy Thys n'avait d'ailleurs pas d'ennemi dans le football belge. Outre s’adapter à l’adversaire s'il vous est supérieur et ne pas faire figure des "sages petits belges", faire une démonstration par l’absurde pour montrer à la presse qu’elle a tort de faire l’équipe à la place du coach, comment convaincre un joueur de participer à la séance de tir au but ou encore, aller rechercher un joueur vieillissant (tiens tiens…) pour participer à une phase qualificative, sont autant des autres bons conseils de Guy Thys. Et s’il est pratiquement à lui seul un art de vivre (dixit Frank Baudoncq), l’abus des souvenirs de Guy Thys est excellent pour la santé et peut être consommé sans aucune modération dans Archives Club.

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    47 分
  • Gaëtan Vigneron revient aux sources
    2025/03/13
    Ses modèles, ses grands moments, son grand regret... Gaëtan Vigneron revient aux sources avant la nouvelle saison de F1. Invité de l'émission "Archives Club" sur Vivasport à quelques heures de s’envoler pour l’Australie et de prendre part à sa 31ème saison de Formule 1, c’est un Gaëtan Vigneron en pleine forme qui s’est prêté à l’exercice de "dépoussiérage" des archives de la RTBF, où plutôt, ses archives, celles qu’il voulait réentendre mais aussi, quelques surprises. L’occasion pour celui qui est entré à Reyers en 1987 de revenir aux sources et d’évoquer les journalistes de la RTBF qui lui ont donné envie de faire ce métier. Et alors qu'il se rappelle avoir été fasciné par la radio étant plus jeune, il songe en premier lieu à Luc Varenne. "Ce qui est magique en radio et qui doit continuer à exister, ce sont les grandes voix, c’est quelque chose qui tout de suite attire, et c’est terriblement important", explique-t-il en repensant au natif de Tournai qu’il imitait en jouant avec ses petites voitures. "Ce que faisait Frank Baudoncq était prodigieux" Au début de sa carrière, c’est un autre monument de la RTBF qui va grandement l’inspirer : Frank Baudoncq. "Marc Jeuniau, l’ancien patron des sports à qui je pense encore souvent, m’avait désigné pour le seconder à Anderlecht". Il se souvient de Frank Baudoncq comme d’un guide. "Je l’observais dire bonjour aux gens, parler à tout le monde, la manière dont il commentait... et je me disais, quelle verve, quelle science du foot, quel langage. J’étais fier d’aller monter ses interviews après la rencontre". "J’ai énormément appris en l’observant, en l’écoutant, en étant dans son sillage. C’est lui aussi qui résumait tous les soirs les étapes du Tour de France. J’allais avec lui en cellule de montage et je l’écoutais. Ce qu’il faisait était prodigieux". Des liens privilégiés avec Constant Vanden Stock et Raymond Goethals Cette période lui a aussi donné l’occasion de nouer des liens privilégiés avec Constant Vanden Stock qui l’invitait régulièrement au restaurant et dans son bureau au Parc Astrid. "Constant Vanden Stock me disait, tu es le préféré de mon épouse, elle dit que tu es le mieux habillé à la RTBF ! On parlait de tout, il me demandait mon avis, c’étaient des moments magnifiques". Magnifiques aussi les nombreux moments passés avec Raymond Goethals, comme lors d’un reportage à Bordeaux où le plus célèbre des sorciers confond Saturnus et… Sancerre. "Un regret de ne pas avoir commenté un Belge capable de rivaliser avec les plus grands" Avec Frank Baudoncq, difficile d’aller à meilleure école. Et en 1994, c’est une autre grande voix de la RTBF que Gaëtan Vigneron remplace, celle de Richard Debeir. En écoutant le commentaire de la victoire de Thierry Boutsen à Budapest en 1990, dernière victoire noire jaune rouge dans la discipline, Gaetan Vigneron avoue nourrir le regret de ne pas avoir commenter un Belge capable de se battre dans les premières places. Il se console toutefois en ayant eu pour consultant des monuments belges du sport moteur dont Jacky Ickx mais aussi Thierry Boutsen, avec une anecdote croustillante lors d’un Grand Prix du Japon à découvrir dans l’émission. Le début de Gaëtan Vigneron aux commentaires coïncident aussi avec la période sans doute la plus sombre de l’histoire de la Formule 1, lors du Grand Prix d’Imola qui voit la mort de Roland Ratzenberger lors des essais et d’Ayrton Senna un jour plus tard, sans oublier l’accident spectaculaire de Rubens Barrichello dans l'interval. "En assistant à ces événements auxquels on est pas préparé comme commentateur sportif, on se dit qu’il y a quelque chose qui cloche dans le monde de la Formule 1". "Le duel entre Schumi et Hakkinen reste l’un des plus grands dans l’histoire de la F1" Fort heureusement, la suite sera plus heureuse pour Gaëtan Vigneron, avec des moments de course incroyables, dont le dépassement de Michael Schumacher par Mika Hakkinen au Grand Prix de Spa Francorchamps en 2000 sur lequel il tenait à revenir. "Le duel entre Schumi et Hakkinen reste d’ailleurs l’un des plus grands dans l’histoire de la Formule 1", selon lui. Une chose est sûre, au sortir de l’enregistrement d’Archives Club, Gaëtan Vigneron est déjà fin prêt et enthousiaste à l’idée de dire ce dimanche à Melbourne son désormais traditionnel, "madame messieurs, bonjour !"

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    1 時間 3 分
  • "Le football est un jeu, le cyclisme un sport", quand Eddy Merckx taclait en toute amitié Robert Waseige
    2025/03/05
    À quelques heures du lancement des Flandriennes, "Archives Club" passe en revue quelques-unes des plus belles et étonnantes anecdotes de cette discipline que la RTBF couvre depuis près de 80 ans. Parmi les archives que vous proposent cette semaine Gaëtane Vankerkom et Matthieu Hellin, un débat qui avait eu lieu sur le plateau de la RTBF lors du passage du Tour de France 1995 à Liège. "De quel sport le football et le cyclisme est le plus difficile", le débat avait été animé mais bon enfant entre Eddy Merckx et Robert Waseige. À découvrir également dans ce numéro, des anecdotes qui révèlent de pratiques ancestrales dans le peloton. Comme lorsque les équipiers entraient dans les bistrots pou se ravitailler, et pas qu’en limonade, leur leader. Lorsqu’il n’était pas rare non plus que les coureurs demandent aux journalistes sur la moto, comme Arsène Vaillant, d’aller leur chercher "une chope" comme l’explique l’ancien journaliste de la RTBF. Le dopage tel qu’il se pratiquait dans les années 60 sera également évoqué avec un étonnant reportage réalisé par René Thiery suite au décès de Tom Simpson sur les lacets du Mont Ventoux. Alors que des amphétamines avaient été retrouvées dans les poches du champion britannique en 1967, le journaliste de la RTBF avait notamment tendu son micro à Jacques Anquetil, déjà quintuple vainqueur du Tour de France. Dans ce numéro, on entendra également Théo Mathy, la voix du cyclisme pendant plus de 20 ans. Et pour le prédécesseur de Rodrigo Beenkens, si Eddy Merckx a été le plus grand coureur de l’histoire, celui qui avait le plus de talent intrinsèque, c’était Rik Van Steenbergen. L’occasion pour l’ancien journaliste de la RTBF de rappeler que le coureur que Fausto Coppi craignait le plus lors des courses d’un jour, était justement Van Steenbergen.

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    47 分
  • Arsène Vaillant, l'homme aux 1.000 matchs commentés
    2025/02/21
    Archives Club met à l'honneur Arsène Vaillant, celui qui fut le visage du sport à la RTBF pendant plus de 30 ans. Celui aussi à qui un après-midi de juin 1969, Eddy Merckx confia, hors micro, qu’il ne laisserait plus rien à ses adversaires. Le 14 juin 1969 à Bruxelles, la Fédération Internationale du Cyclisme Professionnel rend son verdict sur les faits de dopage reprochés à Eddy Merckx, faits qui lui ont valu deux semaines plus tôt, son expulsion du Giro italien. Ce jour-là, Arsène Vaillant se rend au domicile du cannibale pour lui annoncer que la Fédération a levé sa suspension, mais qu’il n’a pas été blanchi dans l’affaire en question. Pour Eddy Merckx le verdict de la fédération s'apparente à un camouflet. Arsène Vaillant se souvient qu'en lui apprenant la nouvelle, le visage d'Eddy a changé. Fou de rage, "il a frappé du poing sur la table, s’exclamant: et maintenant, je ne leur en laisse plus une". Pour le journaliste de la RTBF et alors que Merckx avait roulé à l'économie sur le Giro, c’est à ce moment qu’est partie sa soif de victoire, son appétit cannibalesque. Si le contexte entourant le contrôle antidopage a toujours été flou, le Corriere dello Sport titrant à l’époque "Trop gros pour être vrai !" et le Stadio "Merckx victime d’une manipulation criminelle", le coup de sang de Merckx est effectivement annonciateur. Un mois plus tard, il remporte le premier de ses cinq Tour de France, et tous les maillots distinctifs. Cette anecdote inédite et bien d’autres sont à découvrir dans ce numéro "d’Archives Club" consacré à Arsène Vaillant, la voix des Diables rouges pendant près de quatre décennie et celle des grandes soirées européennes au Parc Astrid.

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    43 分