• Alice Sara Ott, pianiste

  • 2025/02/12
  • 再生時間: 34 分
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Alice Sara Ott, pianiste

  • サマリー

  • Parmi les jeunes musiciennes apparues ces dernières années au firmament du monde classique, Alice Sara Ott tient une place particulière. Parce que son nom en trois temps claque comme un pseudonyme alors qu’il ne l’est pas, parce qu’elle est l’étonnante rencontre des cultures allemandes et japonaises, parce que, comme ses collègues Yuja Wang ou Katia Buniatishvli, elle attire les regards au moins autant que les écoutes ou encore parce que chacun de ses disques, chacun de ses concerts, chacun de ses éléments de communication est soigneusement servi avec un sens de l’élégance et même du glamour, mais sans jamais tomber dans l’exagéré ou le vulgaire. Née en 1988 à Munich d'une mère japonaise pianiste et d'un père allemand ingénieur, elle s’est formée au Mozarteum de Salzbourg, notamment avec le fameux professeur Karl-Heinz Kämmerling qu’on connaît en Belgique pour l’avoir vu souvent siéger dans le jury du Concours Reine Elisabeth. Elle a été suffisamment précoce pour échapper presque totalement à la case Grand concours, et elle a rejoint depuis près de vingt ans la prestigieuse écurie Deutsche Grammophon, avec à la clé des enregistrements Liszt ou Chopin, Beethoven ou Schubert, Tchaïkovski ou Moussorgski ainsi que des compositeurs contemporains ou en tout cas de la deuxième moitié du XXe siècle. Plus récemment, la pianiste a également fait l’actualité pour des raisons de santé, révélant en 2019 souffrir de sclérose en plaques. Heureusement, le traitement médical de cette maladie a évolué depuis qu’elle a emporté la légendaire Jacqueline du Pré en 1987: depuis cette annonce sur laquelle elle s’expliquera ici, Ott poursuit sa carrière sans désemparer, et cet Autoportrait est une jolie façon de nous dire Je vais bien, ne t’en fais pas. Le dernier disque d’Alice Sara Ott, consacré aux nocturnes de John Field, vient de paraître chez Deutsche Grammophon. Elle sera en concert le 16 mars au Singel à Anvers pour jouer, en miroir, de œuvres de John Field et de son contemporain Ludwig van Beethoven.

    Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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あらすじ・解説

Parmi les jeunes musiciennes apparues ces dernières années au firmament du monde classique, Alice Sara Ott tient une place particulière. Parce que son nom en trois temps claque comme un pseudonyme alors qu’il ne l’est pas, parce qu’elle est l’étonnante rencontre des cultures allemandes et japonaises, parce que, comme ses collègues Yuja Wang ou Katia Buniatishvli, elle attire les regards au moins autant que les écoutes ou encore parce que chacun de ses disques, chacun de ses concerts, chacun de ses éléments de communication est soigneusement servi avec un sens de l’élégance et même du glamour, mais sans jamais tomber dans l’exagéré ou le vulgaire. Née en 1988 à Munich d'une mère japonaise pianiste et d'un père allemand ingénieur, elle s’est formée au Mozarteum de Salzbourg, notamment avec le fameux professeur Karl-Heinz Kämmerling qu’on connaît en Belgique pour l’avoir vu souvent siéger dans le jury du Concours Reine Elisabeth. Elle a été suffisamment précoce pour échapper presque totalement à la case Grand concours, et elle a rejoint depuis près de vingt ans la prestigieuse écurie Deutsche Grammophon, avec à la clé des enregistrements Liszt ou Chopin, Beethoven ou Schubert, Tchaïkovski ou Moussorgski ainsi que des compositeurs contemporains ou en tout cas de la deuxième moitié du XXe siècle. Plus récemment, la pianiste a également fait l’actualité pour des raisons de santé, révélant en 2019 souffrir de sclérose en plaques. Heureusement, le traitement médical de cette maladie a évolué depuis qu’elle a emporté la légendaire Jacqueline du Pré en 1987: depuis cette annonce sur laquelle elle s’expliquera ici, Ott poursuit sa carrière sans désemparer, et cet Autoportrait est une jolie façon de nous dire Je vais bien, ne t’en fais pas. Le dernier disque d’Alice Sara Ott, consacré aux nocturnes de John Field, vient de paraître chez Deutsche Grammophon. Elle sera en concert le 16 mars au Singel à Anvers pour jouer, en miroir, de œuvres de John Field et de son contemporain Ludwig van Beethoven.

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